Les addictions au téléphone portable chez les différentes âges

Au cours de la conférence et après avoir écouté le témoignage de la jeune fille de 16ans qui été addictive au téléphone, la psychologue ADRIANA MARQUER de olivers a souligné que le téléphone portable est devenu un instrument de dé-communication, il affecte les rapports sociaux .

Les personnes addictes présentent un profil particulièrement dénué de confiance en soi, accompagné d’une gestion chaotique des rapports sociaux.

la psychologue explique :  « en se focalisant sur le virtuel, la personne peut négliger le réel. Conséquence, elle s’enferme dans sa bulle d’intimité. » De plus, le mobile renforcerait l’isolement en appauvrissant le dialogue avec la famille. Puisqu’on est tout le temps joignable, on a l’impression de communiquer davantage, mais les conversations sont brèves et superficielles. Au bout du compte, on en dit beaucoup moins que dans des échanges plus posés. »

En outre , La dépendance aux téléphones portables entraîne des difficultés de concentration et d’apprentissage chez les jeunes.

En conclusion, malgré que le téléphone portable favorise les rapports sociaux, son utilisation devient donc négative lorsqu’il y a un abus d’usage qui entraîne une dépendance et des angoisses de séparation chez les accrocs. Pour éviter que ses conduites excessives se transforment en véritable addiction, il faut, comme pour tout, savoir poser des limites.

l’Arabie avant l’islam

L’expression : Arabie préislamique désigne la péninsule Arabique avant le VII -ème siècle C’est è dire avant l’apparition de l’Islam.

Depuis l’époque de l’Empire Romain on divisant l’Arabie en 3 régions :

 – L’Arabie Heureuse au sud , correspondant au Yémen actuel

– L’Arabie Centrale peuplée de nomades et de sédentaires

– L’Arabie Pétrée sous l’ influence  des empires byzantin et perse qui menaient des guerres Continuelles au VI -ème siècle.

Le Coran fait référence à cette période sous le nom de Jahilya, c’est-à-dire ignorance, En faisant référence au paganisme. En effet plusieurs religions étaient présentes : Le judaïsme, le christianisme et le polythéisme  ( on recensait 360 statues dans la Kaaba !).

La société était constituée de tribus, sédentaires ou nomades. Les sédentaires étaient regroupés en petites villes où les artisans se définissaient par Leur profession tandis que les Nomades se définissaient par leur généalogie (un aïeul commun),

La ville de La Mecque réunissait des grands marchands de la tribu des Quraychites, au sein de laquelle naquit le Prophète Muhammad.

A la tête de chaque tribu il y avait un cheikh, élu par un comité de sages, qui dictait les règles. Les critères de choix du chef étaient : la générosité, la conduite vertueuse, la modestie, La patience, l’éloquence.

Le fait d’être exclu d’une tribu était lourd de conséquences : l’individu pouvait faire allégeance à une autre tribu, sinon  il était réduit au vagabondage et brigandage.

La poésie était l’art le plus estimé. Les Mu’allaqât en sont un exemple magnifique, Ecrites en une langue très  belle, très pure. Le poète était redouté, et on le supposait inspiré par un Djinn. Les joutes oratoires étaient fréquentes et pouvaient même remplacer les combats.

C’est cette poésie qui reste comme l’héritage le plus marquant de cette période.

Diabète et le jeûne

« Diabète et le jeûne : comment bien gérer? A l’approche du mois de ramadan, c’est le thème de débat choisi par le Centre Culturel Avicenne en partenariat avec l’association mosaïque Bretagne Maroc et la direction de quartier nord -ouest. Cette soirée a été l’occasion de présenter des conseils pratiques  aux diabétiques qui souhaitent jeûner pendant le ramadan pour mieux vivre ce mois sacré et  se passe dans de bonnes conditions.

les médecins spécialisés ont souligné l’importance de :

Adapter son traitement, renforcer l’auto-surveillance de la glycémie, équilibrer son alimentation et aussi penser à limiter son activité physique.

Les spécialistes ont expliqué les éventuels risques auxquelles les diabétiques peuvent être exposées : l’hypoglycémie, l’hyperglycémie et la déshydratation.

 Un imam pour l’aspect religieux a échangé  autour de la thématique proposée.

La soirée s’est achevée autour d’un thé et de nombreuses dégustations proposées.